Ces trois éléments sont une «combinaison perverse» au Guatemala, et ont causé la faim dans 126 municipalités du pays, selon Mario Godínez, de Ceiba Amis de la Terre - Guatemala.

Vendredi dernier, dans le cadre d’un événement pour le droit à la souveraineté alimentaire, l’organisation du Guatemala a dénoncé cette situation et a exigé que les politiques publiques aident à renverser la situation.

Jusqu’à présent, les politiques de l’État ont réussi à fournir «des aides alimentaires à base d’Organismes Génétiquement Modifiés" en faveur des communautés touchées. C’est généralement utilisé par les autorités à "des fins électoralistes" et en complicité avec les intérêts des entreprises, a déclaré Godinez dans une interview à Real World Radio.

Il est facile d’identifier le contexte d’une série de questions qui sont encore en suspens, y compris les inégalités dans l’accès à la terre, et le manque d’assistance technique pour promouvoir un modèle de production basé sur l’agriculture familiale. Godinez estime toutefois que la plupart des forces sociales progressistes du pays sont en train d’articuler efficacement des objectifs politiques pour la défense des territoires, et il est possible que cela ait des résultats positifs dans l’avenir.

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