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7 de julio de 2009 | | |

Le Honduras a Mal

La répression du coup fait payer un lourd tribut

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Isis Obed Murillo is the first victim of the repression of the de facto regime in Isis Obed Murillo Isis est la première victime de la répression du régime de facto, au Honduras, qui a été publiquement reconnu, bien que les autorités du coup nient que l’armée a eu quelque chose à avoir avec son assassinat.

Selon les témoins - y compris une mission des activistes des droits de l’homme du guatémala dirigé par le Prix Nobel de la paix Rigoberta Menchú-Murillo (19), a été assassiné par un tireur d’élite, le dimanche, pendant qu’elle participait à une démonstration pacifique pour le rétablissement du président Manuel Zelaya.

La mission des activistes dit que deux autres personnes sont mortes dans la manifestation, qui a eu lieu à l’aéroport de la capitale du Honduras, Tegucigalpa, où les auteurs du coup ont empêché l’avion de Zelaya d’atterrir.

Malgré les incidents et le rejet unanime de la communauté internationale, le gouvernement de facto a déclaré que le retour de Zelaya n’est «pas négociable».

Une délégation du gouvernement de Zelaya a voyagé aux États-Unis cette semaine pour demander aux autorités du pays d’adopter un rejet plus fort du coup, car même si le coup était condamné par les États-Unis, ce pays n’a pas retiré son ambassadeur au Honduras, comme plusieurs pays de l’Amérique Latine et de l’UE ont fait.

Des sources proches de Zelaya ont déclaré que, lors de la réunion, le président demandera à la secrétaire d’État Hillary Clinton, de retirer le visa pour les auteurs du coup d’Etat et de suspendre l’aide économique des États-Unis au Honduras.

Une délégation du gouvernement de facto s’est aussi rendue à Washington pour tenter d’exposer leur point de vue à l’Organisation des États américains (OEA) et au Secrétaire d’État, Clinton. Mais les porte-parole du Département d’État ont dit aux médias que le gouvernement américain ne reconnaît pas le régime dictatorial et, par conséquent, il ne rencontrera pas sa délégation.

Le Mardi également, l’Interpol a rejeté une demande d’arrestation de Zelaya, délivré par le régime de facto, sur plusieurs accusations, dont "la trahison du pays".

L’Interpol a fondé sa décision sur le fait que les accusations portées contre le président Zelaya sont politiques, et qu’elles manquent des éléments de droit commun. Il a critiqué le régime de Roberto Micheletti pour avoir empêché l’atterrissage de l’avion de Zelaya.

L’agence a expliqué que s’il avait laissé l’avion atterrir, les autorités du coup auraient pu demander un mandat d’arrêt national. Mais pour l’Interpol, l’incapacité de procéder ainsi montre que la demande internationale pour l’arrestation de Zelaya a une motivation purement politique.

Imagen: http://mimundo-jamesrodriguez-esp.blogspot.com/

(CC) 2009 Radio Mundo Real

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