L’épouse du président a demandé instamment de poursuivre les protestations pacifiques - «la paix comme l’antidote», a été l’une des phrases qu’elle a employée. Elle a dit que la répression du régime de facto va augmenter, et a appelé à l’affronter sans crainte parce que le peuple hondurien "fait ce qui est juste».

Des milliers de Honduriens ont marché avec Castro de l’Universidad Pedagógica au Palais présidentiel, qui est toujours entouré par des centaines d’effectifs de militaires.

"Aujourd’hui, ils peuvent pénétrer dans les maisons, ils peuvent punir", a déclaré Castro lors de son discours, qui était axé sur la demande de retour au pays du président légitimement élu, Zelaya.