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11 de marzo de 2014 | Crónicas | Agua | Colombie : Sommet National Agraire | Acaparamiento de tierras | Anti-neoliberalismo | Derechos humanos | Industrias extractivas | Justicia climática y energía | Luchadores sociales en riesgo | Soberanía Alimentaria
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À l’inauguration du Sommet en Colombie, dans lequel Radio Mundo Real et la convergence des medias des mouvements sociaux feront une couverture spéciale, aujourd’hui nous examinons certains éléments centraux du contexte socio politique et environnemental de ce pays.
Dans un agité 2013, caractérisé par les négociations de paix avec les insurrections et l’exacerbation du conflit par rapport au modèle minier-énergétique, la Colombie affronta, le mois d’août dernier, une Grève Agraire et Populaire qui finissait avec la signature d’une série d’accords jusqu’a aujourd’hui non aboutis par le gouvernement de Juan Manuel Santos.
La Grève indiquait à la société la réalité soufferte par le secteur agricole dû aux accords systématiquement non respectés dans l’histoire.
Le nouveau rendez-vous pour discuter la situation des terres et chercher des solutions de fond, aura lieu à Bogota, capitale de la Colombie, les jours 15,16 et 17 Mars.
Le Libre-échange
Un des sujets le plus discuté et raison de préoccupation pour les organisations agraires et populaires continue à être les Accords de Libre-échange (ALE) avec le Canada et les Etats Unis, ratifiés et en pleine implémentation.
Les ALE, n’ont pas favorisé à une augmentation des exportations des produits nationaux, tout au contraire, les importations ont augmentés de plus de 40%, tandis que les exportations ont diminués.
Cela influe DONC péjorativement sur la durabilité du secteur agraire et la qualité de vie et permanence de la paysannerie colombienne.
Les mobilisations d’aout ont réclamé aussi l’analyse structurel de la politique minière-énergétique, la quelle, selon CENSAT Agua Viva – organisation colombienne de la Fédération Amis de la Terre International – accentua les conflits sociaux – environnementaux et transforme le territoire en une appropriation du capital transnational.
Au même temps, elle expulse de leurs territoires les communautés traditionnellement établies dans des endroits avec des biens naturels, en exacerbant les raisons structurelles de l’injustice sociale et environnementale.
Le gouvernement de Santos, dans son effort pour céder à l’appareil corporatif transnational l’exploitation des minéraux, il permet la dégradation environnementale et encourage les conflits territoriaux. De plus, il participe à la violation du droit humain à l’eau – reconnu par les Nations Unies – et par enchainement, à celui de la Souveraineté Alimentaire, éléments centraux du présent débat agraire en Colombie.
À propos de la peau
Imagen: prensarural.org
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